Accéder au bonheur est une question complexe, à laquelle de plus en plus de professionnels de santé, philosophes et chercheurs tentent de répondre. Paradoxalement, l'évolution rapide de la science et de la technologie a rendu beaucoup de choses tellement plus simples : voyager à l'autre bout du monde, travailler à distance avec des collaborateurs de tous pays, communiquer de plus en plus vite, accéder à de l'information de manière de plus en plus simple. Tout semble de plus en plus facile. Et pourtant, nous cherchons désespérément la recette du bonheur…
De la même manière que certains ont le gène des yeux bleus, est-il possible que certains aient cette prédisposition à être heureux, cette capacité à porter un regard positif sur le monde permettant une lecture du monde plus gaie en quelque sorte ?
Nous savons bien qu’un verre à moitié rempli peut-être perçu comme à moitié vide ou à moitié plein, selon les individus. Mais alors, qu’est ce qui fait que certains le perçoivent à moitié vide et d’autres à moitié plein ? Et surtout, si a priori, nous le percevons comme à moitié vide, pouvons-nous nous rééduquer à le voir à moitié plein et à devenir ainsi plus doués au bonheur ?