Cette année pourrait être l'occasion d'une attitude différente comme, par exemple, réussir à tirer un trait sur ce qui, par le passé, a pu être irritant. Qu'il s'agisse des remarques perfides de votre belle-mère ou des commentaires acerbes de votre cousin Marcel... C'est à ce prix que l'on retrouve la confiance en soi pour ne plus traîner les pieds pour aller au réveillon familial.
3. Le calendrier comme on l'entend
Quel que soit le motif (divorce, déplacement professionnel, éloignement géographique, etc.), savoir que le 25 décembre, on ne sera pas en compagnie de ceux que l'on aime, a pour don de casser le moral à mesure que la date approche. Ne soyez pas prisonnier du calendrier, Noël se passe d'abord dans le coeur. Rien n'empêche de le célébrer trois jours avant ou deux jours après. Ce qui compte c'est moins la date que l'émotion qu'une telle occasion procure. A vous de fixer la date en fonction de vos impératifs et de vos contraintes.