PSYCHOLOGIE
1. Préparer son Noël à soi
Les images d'Épinal de Noël ne font pas seulement sourire, elles peuvent aussi blesser. Le bonheur, la famille unie, les enfants émus et les grands parents réjouis sont autant de mises en scène véhiculées par les média et les marchands. Ces symboles peuvent heurter certaines personnes car cette vision idéalisée ne correspond pas toujours à la réalité de Noël. Ils provoquent une mise sous pression, avec la peur de ne pas faire aussi bien que les autres. On doit se rendre à l'évidence : Noël n'est pas fatalement un moment magique pour tout le monde. A chacun sa fête, soyez libre et inspiré plutôt que soumis aux éternels clichés.
2. Garder le contrôle sur les événements
On a parfois de bonnes raisons d'appréhender avec angoisse les réunions de famille de fin d'année, en particulier quand l'ambiance s'y annonce pesante. Si on ne peut être tenu pour responsable des propos, faits et gestes des autres, on peut au moins essayer de l'être des siens. Cette année pourrait être l'occasion d'une attitude différente comme, par exemple, réussir à tirer un trait sur ce qui, par le passé, a pu être irritant. Qu'il s'agisse des remarques perfides de votre belle-mère ou des commentaires acerbes de votre cousin Marcel... C'est à ce prix que l'on retrouve la confiance en soi pour ne plus traîner les pieds pour aller au réveillon familial.
